Décidemment Armand est source inépuisable d’inspiration. J’ai, mais il ne l’a pas lu, déjà consacré un post à ce personnage qui fait la risée de beaucoup de blogs. Je veux parler de quinne. Mais, pourquoi pas, lui consacrer un nouveau petit mot ? Notre ami semble toujours obsédé par la moule. Nous retrouvons peu de variété d’ailleurs dans ses expressions liées à ce coquillage dont le nom vient du latin musculus : coquillage, petite souris, petit poisson, muscle. Mais la « moule » est en effet l’une des nombreuses appellations populaires des organes sexuels féminins. Quine semble se fixer sur cette seule appellation. Pourtant, je trouve que notre quinne mérite aussi cette appellation, dans le sens où moule désigne également une personne empotée, aux gestes gauches. Dans ce sens, moule semblerait plutôt dériver de modulus, autre mot latin qui signifie mouvement réglé, mesure. C’est ce moule qui est définit comme un objet creusé. La cervelle de quinne semble, en effet, bien creuse. Ce quinne doit d’ailleurs être un vrai moule à gaufres, qui a fait de cette expression une ancienne injure lancée à un malheureux au visage grêlé par la variole. Vrai que notre quine est une vraie variole pour pas mal de bloggueurs ! Difficile évidemment de lui trouver vaccin qui ferait disparaître sa maladive obsession de moules. Disons simplement que nous lui appliquerions volontiers le sens actuel de moule à gaufres qui signifie un individu dont le visage semble avoir été créé pour recevoir des gifles ! Voilà donc ma tarte et mes claques à cette tête anonyme, creuse, grossière et sans grand intérêt. Et si il faut rester dans la gamme des mollusques, je dirai que notre quinne à tout d’une pieuvre, d’un calmar, d’un poulpe, tellement il peut être collant… Dans la gamme des crustacés, disons aussi que ce crabe doit certainement se prendre pour un homard et se traîne comme écrevisse sur les blogs pour y laisser ses propos malpropres. Voilà. Quinne je ne vous salue pas ! Et j’ai l’honneur, très auguste connard, avec le plus profond irrespect de ta goujaterie notoire, d’être certainement le très humble serviteur de toutes celles et ceux qui pensent comme moi… Recevez, sinistre con, à défaut de mon pied aux fesses, l’expression de mon parfait dégoût et celle de mes sentiments les plus désobligeants. Mik. |